Ouais j'ai vu cette news. Y a des gens qui ont du skill quand même.
Par contre, je m'inquiète modérément des impacts : 512 octets, c'est la taille totale du secteur d'amorce. Une fois le MBR écrasé par le compilo, y a plus de place pour le reste, même pas de quoi lancer le compilo.
Et puis il y a des protections conçues pour alerter toute modification du secteur d'amorce, type bitlocker (chez M$), je ne doute pas qu'il en existe sur tous les autres OS un tant soit peu sérieux. Bon, ça c'est dans les environnements pro, j'avoue que je ne pense pas que quiconque de normalement constitué ait mis en place du bitlocker à la maison XD.
Je suis moi-même plutôt doué, en toute modestie, et essentiellement grâce à ce que m'a appris FORTH, mais je suis loin d'égaler ce que font certains, lui par exemple, écrire un compilateur C qui tiens sur 512 octets, c'est pas un truc que je fait en me levant le matin ... j'admire les types comme ça, j'ai un pote du même niveau et il me surprend encore ...
[...]VIM qui reste très utilisé pour le développement logiciel.C'est un de mes éditeurs par défaut, avec emacs.
Re les bits Dans le monde très fermé de la programmation, il existe des divinités, des Dieux pour faire simple, des génies qui ont changé la face du monde et la façon de le représenter sur un écran..John Carmack est un de ces Dieux, il est le génie à l'origine des FPS, de la 3D temps réel et du DeathMatch en réseau ...
Citation de: GorothTur le 21 août 2023, 18:36:49[...]VIM qui reste très utilisé pour le développement logiciel.C'est un de mes éditeurs par défaut, avec emacs.Surprenant ! Perso, j'ai connu les supporters de VI et ceux d'emacs se détester presque aussi cordialement que les pro-Windows et les pro-linux (ou les pro Android et les pro Apple) XD. De mon temps (sic), y avait les pro vi, les pro emacs, et pas d'intersection entre les deux ensembles XD.Perso, j'étais #teamEmacs, et je ne manquais pas de jeter des cailloux aux #TeamVi que je croisais, et inversement les #teamVi essayaient de me lapider à coups de figues molles quand ils me repéraient dans un couloir.